La libération anticipée du terroriste islamiste Ali Vakilirad,
l'assassin-égorgeur du Premier ministre Chapour Bakhtiar
Après Clotilde Reiss, le sort de l'assassin-égorgeur du Premier ministre Chapour Bakhtiar dans la balance de la Justice française, libre et indépendante?
Objet de tractations, voire de trocs, supposées ou avérées (Kakavand, Vakili-Rad), quoique officiellement « démenties », la jeune Française persanophone Clotilde Reiss, arrêtée en juillet 2009 en Iran, n’aura finalement été qu’un Otage de plus prise dans les filandreux filets d’un régime islamo-révolutionnaire qui, dès la chute du Shah en 1979, a érigé en arme politique ce genre de chantage inter-étatique.
« Coïncidences » de calendriers judiciaires, l’ingénieur iranien Majid Kakavand, «blanchi » par la justice française une semaine avant Clotilde Reiss, a aussitôt regagné, par le premier avion, Téhéran, pendant qu’Ali Vakili-Rad, condamné à perpétuité pour avoir égorgé à Suresnes, avec une barbarie inouïe, le Premier ministre anti- khomeyniste Chapour Bakhtiar, réclame, depuis ... ce même juillet 2009, sa libération-expulsion vers l’Iran, requête tout autant surréaliste qu'abjectissime qui sera, une nouvelle fois, examinée, perspective qui fait horreur à tous les hommes et femmes d’honneur et qui a suscité le lancement d’une pétition de protestation passée, il est vrai, totalement inaperçue, car jamais relayée par les medias, en plus de l'indifférence que le sujet suscite.
Car qui se souvient encore que le très francophile et laïciste Chapour Bakhtiar, égorgé au couteau par le barbare islamiste Vakili-Rad, fut engagé volontaire dans l'Armée française puis Résistant contre l'Occupation nazie en France?
L'islamiste Naccache et tout son commando terroriste, artisans d'une première tentative d'assassinat, certes avortée, mais particulièrement sanglante (causant notamment deux morts: un policier et une voisine), n'avaient-ils pas été discrètement graciés et renvoyés dans leur lointaines pénates dans cette même absence de réaction d'indignation?
Décidément les démocraties, et leurs citoyens, seront toujours bien faibles face aux totalitarismes et aux terrorismes qui ont juré leur perte...
Accueil triomphal, acclamé en héros (sic!), du terroriste islamiste et égorgeur Ali Vakilirad, avec, en prime, couronne de fleurs et comité d'accueil, à son arrivée à l'aéroport imam Khomeiny de Téhéran.
Compagnon de la journaliste Christine Ockrent de sinistre mémoire, l''éphémère ministre des affaires étrangères Bernard Kouchner, artisan de la libération de la jeune Clotilde Reiss... mais au prix de quelles abjectes compromissions?
